Les écris de JAMESPOEMS

Etre poursuivie par une Idée

Qui ne connaît pas de limite

Et

Une Lune qui ne vous quitte pas

Désirant être Votre guide spirituel

Sauvegardez là !

Oui

Cette Putain de Lune

Dans une Aventure

Il y a toujours des risques

Que vous soyez par exemple

Une proie tant désirée

Tombé dans un traquenard

Attiré

Par un espèce d’homos sapiens

Sorcier de surcroît

Se croyant détenir tout les pouvoirs

Dominant cette Nature si fragile

Par Arrogance

Il vous méprise depuis toujours

Et

La plupart du temps

Il ne sait même pas

Qu’il n’est qu’un germe maléfique

Engendré par un microbe d’outre-tombe

Assoiffé de sang et de meurtres

Continuant de semer la terreur

Il se multiplie

Cependant

A force de semer le néant sur son passage

Il finit par comprendre

Que le mal n’était qu’une farce obscure

Cachée en lui depuis sa venue sur terre !

Ainsi, il acquit avec l’expérience, une vie pleine de périls et de sagesse

Qu’il n’est jamais trop tard pour comprendre qu’une vie vaut bien la peine d’être vécu sans ambiguïté entre le mal et le bien

C’est ainsi que son cœur au soir de sa vie

Sentit qu’il ne pouvait plus être le vilain petit méchant

Ne pouvant tuer une mouche

Parce qu’il avait définitivement ôter la guerre de son esprit comme une nécessité existentielle

Debout, face à une vérité

Ne croyez pas qu’il n’en n’est rien

D’un pauvre cœur qui ne bat plus

Car

La vie au-delà de la mort

N’est pas une fin en nous

C’est une évolution des choses de la vie dans un autre contexte

Sous une forme spirituelle

Cette vérité, marque indélébile de notre passage sur terre

Se révèle être notre force de vivre

Révolution !

Révolution !

Révolution !

Chaque heure marque d’une empreinte indélébile

Une séquence de notre affranchissement !

Chaque instant amplifie notre courage

D’avancer, pas à pas

Vers une réconciliante Liberté tant chérie

Debout, face à une vérité

L’émotion pèse sur nous

Vous êtes là

Statuant sur notre devenir

Mais,

Sachez que dorénavant

Le futur est à nous

Un trésor qui nous revient et

Ne nous quittera plus jamais

J’hume l’air de la répugnance

Celle qui embaume votre esprit

Et nous a tant abaissé

Comme des bêtes de somme

Loin des belles phrases et philosophies d’un Voltaire ou autres grands hommes de lettres

De vos académies pompeuses et laborieuses

Il faut bien vous convaincre

Qu’il est enfin temps

De comprendre que l’histoire finit toujours par rendre justice aux peuples opprimés

Et qu’ainsi,

Regarder vers le futur

N’épargnera pas les faits et monstruosités du passé

Par un simple coup de baguette magique

Comme un Ponce Pilate

Vous vous lavez les mains

Et croyez que par cet acte irrespectueux

Vous vous libérez des charges qui pèsent sur vous

Depuis de si longs siècles

Comme des ombres maléfiques

Aussi,

Sachez que vous êtes à plaindre et mon cœur

Dorénavant

Se fait léger comme une plume

Dans un ciel éternellement bleu

* Ces lignes ont été écrites en 1981 à l'âge de 22 ans (Paris, dans une chambre de bonne) en souvenir de mon enfance.
Profitant de l'occasion qu'il m'est donné maintenant de les publier sur le net, en espérant qu'ils s'auront vous communiquer à jamais, les ressenties d'une époque certes révolue, mais ayant eu une influence non négligeable sur mon devenir. Vos commentaires seront des plus appréciables tout en respectant les lignes, ici divulguées sans censure, en respectant l'origine des textes. Je vous en remercie grandement.
                                                                                       Jamespoems